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30 avril 2015 4 30 /04 /avril /2015 10:45
Cinq Héros dans Dragon Ball Z

Un peu dans la lignée de l'article sur les Mégas de Digimon Tamers, j'ai voulu faire une petite analyse des personnages de Dragon Ball Z, durant la Saga Cyborg. Une de mes inspirations est le jeu vidéo Dragon Ball Z : l'Héritage de Goku 2, où l'on contrôlait ces cinq personnages.

Mon inspiration principale ne se trouve pas tellement dans les sorties récentes de Dragon Ball Xenoverse ou Revival of F, ni même dans l'annonce de Dragon Ball Super. Mais dans le fait que j'ai récemment commencé à faire de la musculation, pour compléter le MMA (que j'avais arrêté suite à mes problèmes de couple). A chaque fois que je sors de la muscu, j'ai l'impression d'être un Super Saiyan, et j'ai en tête Battle Point Unlimited, la musique qui joue lorsque Trunks se transforme en Super Saiyan pour la première fois devant Freezer (à l'époque ça voulait dire encore quelque chose).

Il y a quelques temps, je lisais un commentaire selon lequel Goku serait l'antithèse du personnage de shônen qu'il a pourtant aidé à codifier. Les shônen soutiennent l'humanité face aux menaces extérieures, c'est un extraterrestre. Dans nombre de shônen, le protagoniste a souvent dans son background un père absent qu'il essaye d'émuler, Goku est ce père absent. Enfin, dans beaucoup de shônen, la victoire est acquise grâce au pouvoir de l'amitié, alors que Goku préfère obtenir ses victoires par lui-même.

Dans le même ordre d'idée, Goku n'est pas non plus vraiment très héroïque sur certains points. Son amour du combat l'a poussé à prendre des décisions très discutables, laisser Végéta en vie ou encore pousser son fils au combat. Dans une récente interview de Toriyama, il explique que si Goku apprécie sa famille, il les voit plus comme ses compagnons qu'autre chose. Le point se tient dans la mesure où les Saiyan, dans l'ensemble, ne connaîtraient pas le concept de famille. Cependant, dans la même interview, il explique que Végéta aime sincèrement sa famille, et que c'est au contact de celle ci qu'il est vraiment passé du côté des gentils.

Au final, Goku est un personnage héroïque, mais presque par défaut. Ce n'est pas un parangon de vertu, mais un compétiteur un brin égoïste mais bien intentionné qui s'avère affronter des maniaques.

J'hésitais sur le Lancelot de cette période. Bien sur, Végéta reste le rival de Son Goku jusqu'à la fin, mais l'une des caractéristiques du Lancelot est de trancher avec le héros, c'est son opposé, et dans le cas qui nous concerne, j'ai tendance à penser que Trunks est plus appropié (mais juste pour les besoin de la catégorie).

Pourquoi? Contrairement à la plupart des Saiyan introduit (Son Gohan excepté), Trunks est réservé, poli voire même timide. De plus, le fait de grandir dans un monde ravagé par la guerre l'a rendu très sérieux vis-à-vis des combats. Il ne va pas laisser le temps à son adversaire de lui offrir un bon combat, il va l'écraser avec tout ce qu'il a tout de suite. De même que dans la série, ses attaques n'ont pas de noms. Ensuite, dans une série où presque tout le monde a l'habitude de se battre à main nue, il se distingue par l'utilisation de son épée (qu'il range après que C-18 l'ai brisé, il me semble). Enfin, il est le deuxième Super Saiyan introduit.

Cependant, si on m'oppose le fait qu'il correspond d'avantage au Costaud, parce qu'il va davantage miser sur sa force physique, au détriment de sa vitesse comme Cell lui fera remarquer, je suis preneur.

Pourquoi je mets Végéta comme le Costaud de cet période? Après tout, il est le rival de Son Goku, ainsi que son Lancelot durant presque toute la série. Parce que c'est sa recherche d'un bon combat qui le motive durant cette saga, ainsi que la volonté que surpasser ses rivaux, Goku bien entendu, puis Trunks, puis C-18, et enfin Cell.

En plus le mec est le putain de tank de Dragon Ball Z, il faut se rendre compte que pour le tuer, il a fallu lui transpercer le cœur, et qu'il se fasse sauter. Sinon, il s'est pris toutes ses baffes, subi toutes les humiliations, mais s'est toujours relevé, prêt à en découdre de nouveau.

Cependant, je suis d'accord, Végéta est le Lancelot de Goku, ce sont des miroirs sur presque tout.

J'aime bien la Saga Cyborg, également parce que c'est la dernière où un personnage appartenant à une autre espèce que les Saiyan a un rôle à jouer. En effet, alors qu'il aura pendant longtemps été le Lancelot, Piccolo pivote vers le rôle d'Intello.

C'est simplement parce qu'il a plus tendance à réfléchir que les autres. Il est capable de concevoir des plans et des stratégies. Il n'hésite pas à manipuler ses adversaires. De plus, contrairement à Végéta, il ne se laisse pas absorber par son ego.

Ce trait sera renforcé lors de la fusion avec le Tout-Puissant. A partir de ce moment, il commencera à jouer le rôle de superviseur du reste du groupe.

Gohan est clairement le Coeur du groupe. D'abord parce qu'il est est le plus jeune mais aussi parce qu'il est celui qui aime le moins enclin au combat. Enfin, il possède un potentiel caché immense.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 16:07
Mega Digimon Tamers

La Mega-Evolution de Pokémon ainsi que l'annonce de Digimon Adventure Tri (fucking nade-nade) m'ont pas mal fait penser à Digimon Tamers. Parce que c'est la troisième saison et que les digivolutions se différenciaient de celles des deux premières qui étaient un peu pourries, notamment lors du passage au niveau Champion. Puis on arrive rapidement au niveau méga, et on se rend compte qu'il y a cinq mégas principaux au cours de la série. Cinq mégas. Cinq ...

Donc j'ai décidé de m'amuser un peu avec ces Cinq mégas selon le modèle du groupe de Cinq. C'est d'autant plus vrai que chaque personnage évolue dans un sens assez particulier, et surtout chacun possède son propre style avec une thématique bien particulière qui le distingue des autres. En plus, ça me permettra de m'attarder un peu de ces personnages.

Mega Digimon Tamers

Gallantmon est clairement le Héros. Même pas tellement parce que c'est un chevalier. Mais parce qu'il est en rouge (couleur du héros, surtout au Japon), parce qu'il est le premier à atteindre le niveau Méga, parce qu'on nous a refait une Skullgreymon avec Megidramon, et enfin parce qu'il a un super mode qui a la classe.

J'adore Gallantmon! Je le trouve super classe, et pendant des années, je reprenais son design dans pas mal de mes petites fantaisies. Surtout que la voix française n'est pas si mal, notamment par rapport à la voix anglaise. En français, le doubleur prend une voix super sérieuse alors que dans la version US, le doubleur garde la voix de Guilmon qui tranche avec l'apparence globale de Gallantmon super chevalier.

Takato tranche avec tous les autres chefs des Digisauveurs. La plupart d'entre eux sont courageux voire téméraires, pas nécessairement très réfléchis (pour ne pas dire idiots), et ils ont les cheveux foncés. Lui, il est timide et réservé. On fait souvent le parallèle entre Tamers et Evangelion, et je crois qu'il est fondé. A ce titre, Takato me fait beaucoup penser à Shinji. A la différence que celui-ci n'a pas de problèmes particuliers avec son père et qu'il n'a pas passé son temps à fuir ses responsabilités. Sans doute grâce à l'influence de Guilmon. En cela, le personnage de Takato, bien qu'assez classique (on pourrait tisser des liens avec Luke Skywalker), est un héros intéressant.

Mega Digimon Tamers

Beelzemon ne "rejoint" véritablement les héros que dans la dernière partie et encore, il restera de son propre côté. Pour autant, c'est un personnage central de toute cette saison. C'est pour cette raison que peut-être d'avantage Sakuyamon ou Megagargomon j'en ferais le Lancelot de cette équipe.

C'est un personnage solitaire dont la personnalité conflictuelle le pousse à être en marge du groupe même après l'avoir rejoint. En outre, il est un peu l'anti-thèse de Gallantmon, les deux sont calqués sur le modèles du rider, du cavalier, que ce soit le motard ou le chevalier et les deux possèdent un boost de la dernière heure. Pourtant, ils sont différents. Gallantmon est un chevalier donc combat au corps-à-corps, Beelzemon combat à distance (même s'il utilise ses griffes).

Beelzemon est l'une des force de Tamers, et son retour dans une saison récente (cette fois ci en full gentil) en est la preuve. J'adorais également son design. Ça doit être à cause de lui que j'aime autant les blousons en cuir.

Mega Digimon Tamers

On peut se demander pourquoi je met Megagargomon en tant qu'Intello dans cette formation. En effet, il est nettement plus grand que les autres, et Terriermon est l'un des Digimon les plus prompts à se battre.

Cependant, il est surpassé dans son amour du combat par Cyberdramon. En outre, il y a la personnalité d'Henry qui est plus réfléchie et sérieuse. Enfin, MegaGargomon est un mecha qui utilise principalement des armes à feu et des missiles.

Voilà, voilà.

Mega Digimon Tamers

Pour être franc, je me souviens avoir vu Ryo au cours de la saison 2, lors d'une des fièvres de Ken, et à l'époque je me suis demandé " C'est qui ce mec? Qu'est-ce qui se passe? Bon sang, j'ai raté un épisode! " Ce n'est que très récemment que j'ai vraiment compris qui était Ryo (et encore c'est un vrai bordel).

En plus, j'ai raté les épisodes où Cyberdramon était introduit, donc mon avis sur lui est largement inspiré de ce que j'ai lu sur lui. Même si je me souviens que Ryo devait le retenir assez souvent. Mais ça remonte tout ça.

C'est pour ça que je mettrais plutôt Justimon en Costaud. Il est le héros de sa propre histoire et vit sa vie de son côté essentiellement, mais avec son costume de superhéros, l'assurance de Ryo et l'amour du combat de Cyberdramon, je trouvais que ça collait plutôt bien. Le Costaud n'a pas besoin d'être spécialement intégré au groupe, sa mission principale est d'apporter beaucoup de muscle, ce qu'il fait.

Mega Digimon Tamers

C'est très arbitraire, mais Sakuyamon serait la Nana du groupe. C'est assez bizarre, au début de la saison, Rika est la plus encline au combat doublée d'une solitaire et d'une darwiniste sociale, dans une certaine mesure. Toujours dans l'analogie avec Evangelion, elle serait à rapprocher à Asuka (avec sans doute Jeri en Rei). Renamon est beaucoup plus calme et désinvolte.

Ça doit être pour ça que Sakuyamon est un digimon beaucoup plus calme, j'irais presque à dire, si je me fie à mes souvenir, maternel. En cherchant un peu, j'ai appris que Sakuya est une divinité assez importante dans la mythologie japonaise. Ça m'avait marqué déjà parce que Sakuyamon avait un côté miko très marqué (qui commençait depuis Taomon, mais on appuyait bien dessus), et qu'il y avait un personnage du nom de Sakuya dans Samurai Deeper Kyo (j'étais jeune).

Je dois avouer que j'étais assez dég' que du trio principal, Renamon était la seule à ne pas avoir des images de synthèses pour ses digivolutions à partir du niveau Ultime. En plus, je comprenais pas, je pensais au départ que Taomon était un homme, comme Togemon. Heureusement que le doublage ne change pas!

Pourquoi y a pas MarineAngemon? Parce qu'on s'en tape.

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 22:30

J'ai envie d'écrire un article à la gloire de trois franchises qui m'ont beaucoup apporté : The Legend of Zelda, Warcraft et Warhammer. J'avais déjà écrit un article dans lequel je proclamais mon amour de la série vidéo-ludique, the Legend of Zelda, mais avec le recul, je me rends compte que ces trois franchises incarnent une forme de continuité, qui évolue petit à petit. On partirait alors d'un monde simple, lumineux et somme toute assez manichéen, pour se diriger vers un univers plus complexe, sombre et où la moralité s'estompe petit à petit. On passe ainsi progressivement de l'enfance à l'age adulte.

Ces trois franchises sont importantes dans la mesure, où elles m'ont influencé dans une certaine mesure. Elles m'ont servi de repères dans une époque où je recherchais des modèles. On peut grossièrement les classer selon les trois dernières cycles scolaires que j'ai connu : 

Le collège, avec The Legend of Zelda;

le lycée, avec Warcraft;

l'université, avec Warhammer.

Cette distinction n'est très conforme à la réalité, et certaines franchises se chevauchent. Par exemple, j'ai commencé à jouer à Warcraft qu'en Terminale, et à Warhammer qu'en Master 2. De plus, cette évolution ne signifie pas que chacune prend la place de l'autre. The Legend of Zelda : Link's Awakening est aussi important (voire plus) à mes yeux que The Burning Crusade, où Johannes Tueur-de-Wyrm, mon Seigneur du Chaos.

The Legend of Zelda, est le premier univers auquel j'ai véritablement eu à faire au cours de mon adolescence. J'ai eu mon premier Zelda au collège, une période que je considère comme la plus sombre de toute ma vie. The Legend of Zelda a été pour moi une échappatoire. Cette série a véritablement dévellopé mon gout pour l'aventure et l'exploration.

The Legend of Zelda fait écho aux contes les plus classiques, au premier rang desquels, bien sur, St Georges et le Dragon : la Princesse est enlevée par le Méchant/Dragon/Démon, et c'est au Héros/Chevalier/Prince d'aller la sauver. Au final, ce sera avec The Legend of Zelda que va réellement s'inscrire en moi l'idéal chevaleresque et romanesque. En outre, je dois admettre que The Legend of Zelda continue d'influencer ma vision, hélàs erronée, d'une relation romantique entre un homme et une femme, c'est-à-dire celle d'une Dame et son Champion. Pourtant, je devrais comprendre : c'est marche presque pas pour Link, pourquoi ça marcherait pour moi?!

Des Trois Elus des Déesses, je dois avouer que Ganondorf est mon favori. Au départ, c'était parce que je trouvais qu'il avait la giga classe dans son armure noire. Mais Ganondorf est plus qu'un être qui sera dévoré par ses ambitions. C'est d'abord un chef qui voit que son peuple vit reclus dans le désert alors qu'il y a le riche royaume d'Hyrule qui n'est guère loin, et j'ai tendance à penser que c'est cette jalousie qui sera alimentée par la Haine de l'Avatar du Néant, et guideront ses actions tout au long des différents jeux. En fait, Ganondorf est un personnage plus tragique qu'on ne peut bien le croire. Et ce, en dépit de sa tronche de cochon!

Warcraft est intervenu assez tard dans ma "quête d'identité", mais j'aurais plutôt tendance à arbitrairement le ratacher au lycée, même si je n'ai eu l'occasion d'y jouer qu'en Terminale. Ma rencontre avec Warcraft s'est faite d'abord dans Warcraft III. Mon coup de coeur fut la Horde de Thrall. C'était des guerriers fiers qui voulaient trouver un foyer dans un monde qui ne veut pas d'eux. Des exclus. Mais ils gardaient toujours un sens de l'honneur très prononcé, tout en luttant face à leurs vieux démons. Ce sentiment est d'autant plus renforcé que je trouve l'Alliance assez "hypocrite". Ils se cachent derrière le fait qu'il représenteraient le "Bien" alors qu'au final, ils sont pas tellement mieux que la Horde.

Quand j'ai commencé à jouer à World of Warcraft, je dois admettre que j'étais toujours en mode " chevalier blanc ". L'essentiel de mes personnages étaient sont des Paladins. Et à part les Nains (je préfèrais me créer un Roi de la Montagne), je crois bien que j'ai toutes les races qui peuvent être Paladin. Cependant, au fur et à mesure de mon pex, j'ai constaté qu'au final mes personnages étaient plus motivés par l'appat du gain qu'autre, et ai décidé de les voir plutôt comme des mercenaires que comme de nobles héros. C'est à cette période que j'ai décidé de passer de mon alignement " Loyal - Bon ". A celui que j'ai toujours aujourd'hui " Loyal - Neutre ". Non soumis aux codes moraux, mais obéissant à mon propre code.

Warcraft est aussi la franchise qui m'a fait entrer de plein pied dans la culture geek.  C'est grâce à Warcraft que j'ai découvert Lovecraft, Warhammer et Donjons & Dragons, notamment.

J'ai rencontré Warhammer dans les premières années de l'université. L'univers de Warhammer : Fantasy Battle est une version plus sombre, plus grimdark, que les autres "univers" auquel j'ai pu être confronté.

Je l'ai déjà dit, mais j'ai longuement hésité pour savoir par quelle faction je commencerais à jouer.

D'une part, j'ai pendant un temps pencher pour les Bretonniens. Inspirés de la mythologie arthurienne et de la France du Haut Moyen Age, ces chevaliers en armure étincellante et leurs demoiselles (ainsi que leurs paysans, mais chut) sont la quintessence de l'esprit romantique. D'autant plus qu'ils rejetent (officiellement du moins) les armes à feu ainsi que l'essentiel des progrès technologiques (et scientifiques de manière plus générale) qui font de l'Empire la plus puissante nation humaine. De ce fait, je trouve qu'il y a quelque chose d'assez stagnant chez les Bretonniens. Chaque chose reste à sa place. Les nobles se vautrent dans leur autosuffisance et leur désillusions, et les pauvres restent pauvres. C'est assez schlérosé en fait, et je hais les sociétés schélérosées.

C'est pour cette raison que, je trouve les Guerriers du Chaos particulièrement romantiques. Le romantisme, c'est l'exaltation des passions, dont se nourrissent les Dieux du Chaos, mais c'est aussi le combat de l'individu face à des forces qui le submergent. Mais le romantisme est également une fascination pour le mystique, le lugubre voire l'effroyable.

Ainsi, les Guerriers du Chaos m'apparaissent comme très romantiques. Ce sont des hommes (et des femmes, comme Valkia) qui rèvent de transcender leur nature humaine, quitte à se mettre au service de divinités entropiques. Chacun peut entamer une route qui doit le mener vers la transcendance de la condition mortelle, ou alors vers une déchéance ignoble. Souvent dépeint comme des sauvages sanguinaires et complètement maboules (comme si les fanatiques de l'Empire sont mieux), la plupart sont des humains normaux qui commercent régulièrement avec les civilisations du Sud, comme dans la vraie vie, en fait.

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 21:58

Je vais dire un truc pas très nouveau, mais on passe par plusieurs phases au cours de sa vie. L'an dernier, notamment j'ai réalisé à quel point j'étais isolé, et pendant plusieurs mois, j'avais sombré en plein nihilisme. J'estimais que rien n'avait de sens, et que seule la mort pourrait me libérer. Eh ouais, c'était aussi violent que ça.

En effet, il y a quelques semaines, j'ai commencé à enchaîner les cartons. Encore une fois, je me suis senti tout seul face à des emmerdes qui devenaient de plus en plus grosses. Je me suis dit : "ASSEZ!" Il était temps de changer ma manière de vivre. J'ai décidé que désormais, je ne vivrais plus pour les autres, mais pour moi. J'ai également décidé que je tâcherais de vivre la vie que j'ai envie de vivre. Pas celle que l'on veut m'imposer.

Mais que le plus important pour moi est de m’élever afin de devenir un meilleur homme. Ainsi, fini le nihilisme. Si la vie n'a pas de sens, j'ai envie de dire qu'il faut lui donner un sens. Mais pas le sens que la société, elle aussi nihiliste, veut nous imposer. Il faut donner à sa vie, son sens. Ca peut prendre le temps que ça prendra, mais il faut y arriver.

Depuis des années, des interrogations taraudent mon esprit. Quelles sont-elles? Pour quelqu'un réputé avoir de bonnes capacités de synthèses, je reconnais avoir du mal à les formuler. Quoiqu'il en soit, ça me gène. Comme si j'ai un truc coincé à l'arrière de la tête, et ça m'enerve.

A plusieurs reprises, j'ai tâché de trouver des réponses, d'abord autour de moi, auprès des gens que je connais. Mais j'ai rapidement compris que je ne trouverais pas les réponses que je souhaitais auprès d'eux. J'ai alors commencé à chercher sur Internet (je sais, c'est incroyable), et à chaque fois que je trouvais des réponses interressantes, elles me ramenait toutes à Freidrich Nietzsche. Ce n'est pas la première fois que je me rapproche d'auteurs qui ont succombé à la folie. Je crois que ça en dit long sur mon destin. Quoiqu'il en soit, j'ai toujours tâché de rester prudent face à ces écrits dont la signification à toujours prété à des interprétations libres.

Ces dernières semaines, j'ai observé le monde autour de moi , et j'ai remarqué qu'en fait, la plupart des gens sont nihilistes. Les gens sont esclaves de leur vie, prisonniers du système "métro - boulot - dodo". La plupart de ceux que je vois dans le métro sont en mode "zombie", complétement aspirés par leur problèmes. Peut-être qu'ils se rendent compte de la misère de leur sort, mais ils font avec. Ils sont résignés. La plupart d'entre eux ne trouvant une échappatoire qu'au travers de "célébrités" qui mènent la même vie qu'eux, mais en plus flashy. Et pour certains, il s'agit de sombrer dans des addictions plus nocives  les unes que les autres. J'ai réalisé que je ne pourrais supporter cette vie. Je déteste le système "métro - boulot - dodo". C'est une cage qui me rend furieux. Toujours les mêmes choses. Tout le temps. Avoir ses habitudes n'est pas une mauvaise chose, mais en être prisonnier est une autre. J'ai du mal avec ceux qui voie la vie au jour le jour, mon esprit est toujours tourné vers plusieurs mois à l'avance, en train de planifier ce que j'ai envie de faire. Pour tout dire, de base, je suis plutôt quelqu'un de plutôt optimiste voire idéaliste; je suis convaincu que demain sera meilleur qu'aujourd'hui. Après, la réalité m'a souvent joué des tours, me rendant quelque peu blasé. Je rêve de liberté, de découvertes, j'ai envie de dire d'aventures. J'ai soif de connaissances. 

Il y a autre chose que je n'aime pas. Les gens qui se complaisent dans l'immobilisme ou plutôt dans le statut quo, ils sont contents de ce qu'ils ont et ne veulent pas plus. Moi, j'en veux plus. Je veux m'élever et atteindre un autre stade dans la compréhension du monde. Pour être franc, c'est pour ça que j'ai quitté la Guadeloupe. Je ne pouvais rien faire, la plupart des gens que je connais sont contents (s'il l'on veut) dans leur petit train train (apparant du moins, les gens ont tellement de secrets). Bus - Fac/Boulot - Dodo. J'en pouvais plus. J'allais péter un câble.

Cependant, mon désir de briser les chaines qui me retienne prisonnier depuis tant d'années est toujours aussi fort, et Nietzsche a été mon premier pas vers l'émancipation. Son idée du Übermensch s'affranchissant de la morale occidentale et du nihilisme avilissant m'a particulièrement séduit. Néanmoins, je ne souhaite pas prendre pour moi toute la pensée de Nietzsche, je ne le perçois que comme un guide *tousse*, peut-être le seul qui peut m'aider à y voir plus clair. Ainsi, il ne s'agirait plus de la Volonté vers l'Übermensch mais la Volonté vers l'Überyannus.

"Mens [in]sana in corpe sano." Depuis que je suis à l'université, je veux faire un art martial. Déjà pour prendre confiance en moi, mais aussi pour me défouler. Pendant un temps, j'ai cherché, puis je suis tombé sur "l'expérience de combat ultime", le Mixed Martial Art.

A mes yeux, l'intérêt du MMA n'est pas tant sa supposée violence (enfin si, quand même un peu ^^") que la volonté de construire un style complet. En effet, comme le nom l'indique, c'est un mélange d'arts martiaux, et au départ, la plupart des combattants venaient de différents arts martiaux, boxes, lutte, judo, etc. Mais plutôt que se spécialiser dans un style particulier, créant des lacunes dans certains domaines, le MMA cherche à créer des combattants complets adaptables à chaque situation. Bien sur, chacun a ses propres préférences, et tout le monde n'est pas polyvalent comme Mario.

Pendant des années, j'en parlais à peine autour de moi, de peur de passer pour une grande gueule qui parle beaucoup et qui agit peu, et pour être franc, j'avais encore plus de difficulté à me regarder dans un miroir. Puis, j'ai décidé de retirer les doigts du cul et de m'y mettre, puisque j'en avais la possibilité. Et pour être franc, j'adore ça. N'ayant jamais été d'un naturel sportif, c'est clair que pour l'instant, je suis pas beau à voir, mais avec de l'entrainement et l'assiduité... Je dois avoeur que j'ai été très surpris par le sol, c'est exténuant, et surtout il me force à repenser à ma manière de penser. Depuis que je suis tagué "costaud", j'ai l'habitude de jouer sur mon physique et ma force pour impressionner. Pas au sol. En réfléchissant, c'est logique, les techniques de sol sont faites pour être permettre à des individus minces, et pas nécessairement des monstres physiquement, de vaincre des adversaires plus balèzes. Le sol a très clairement un aspect technique et stratégique, on pense, on patiente et on réagit plus qu'autre chose. Ce qui contraste avec ma nature qui est plus de foncer dans le tas et de submerger mon adversaire par une force écrasante. Je me rends compte, qu'à mon niveau actuel en tout cas, je ne peux pas y arriver. Il faut donc que je repense ma manière de penser.

Pourquoi du MMA pur? Parce que je n'ai pas nécessairement les moyens de me payer comme je l'envisageais le muay thaï et le jiu jitsu brésilien (mélange à la Wanderlei Silva). D'autant plus que ça me permet de regarder d'autres techniques de combat. Je pense notamment à une technique de self defense.

Pendant un moment, je voulais faire du Krav Maga, technique de self defense israélienne populaire qui vise à exploser son adversaire. Mais depuis que j'ai intégré mon école d'arts martiaux, je pense d'avantage me tourner vers le Systema, un style russe utilisé notamment par les spetsnaz, et qui est plus basé sur la maîtrise de soi.

En vérité mon but est de trouver un équilibre entre des techniques de combats qui viennent de "grandes aires géographiques", l'Occident avec le MMA, la Russie avec le Systema, et peut-être plus tard l'Asie avec le Sanda. Comme j'aime dire, mon but n'est pas tellement de devenir un Rambo ou un Chuck Norris, mais juste de me défouler et surtout arrêter de vivre dans la peur.

Enfin, pour mettre un peu d'équilibre dans tout ça, il faut comme j'aime dire une activité Yin. J'ai un temps penser à faire du théâtre, mais avec les arts martiaux j'aurais pas pu, et puis l'idée ne me tentais pas plus que ça, j'ai alors décidé de simplement me tourner vers Warhammer.

Pour être honnête, Warhammer était ma première initiative, mais dernièrement elle a fortement été influencée par les deux autres. C'est assez marrant puisque, quand j'ai commencé à m'intéresser à Warhammer, je voulais d'abord jouer les Hommes-Lézards, serviteurs des Anciens, des "machines vivantes" qui se contentent de porter la mission des Anciens. Dans un second temps, j'ai penser à jouer Bretonnien. D'habitude, j'aime pas jouer humain, mais la Bretonnie avait différentes raisons "classiques" qui m'animaient : chauvinisme, chevalerie, cycle arthurien, etc. Finalement, j'avais arrêté mon choix sur les Orques. J'avais même commencé à composer mon armée.

Entre-temps est arrivé tout ce qui est évoqué plus haut. Ça m'a donné l'impulsion nécessaire pour choisir les Guerriers du Chaos. En effet, je voulais jouer Guerriers du Chaos depuis un moment. Ils correspondent plus à ce que j'essaye de construire. Réussir à s’élever grâce à sa propre force. Ou échouer.

Reste à déterminer l'allégeance de ces Guerriers du Chaos. C'était assez simple. Grâce à Nietzsche, mes ambitions et ma soif de savoir, je veux transcender le nihilisme qui anime la majorité de la population, ce qui ramène à Tzeentch. De plus, le MMA est souvent perçu (à tort je trouve) comme un sport sanglant et barbare, et je n'ai presque aucun intérêt dans les activités mondaines, ainsi que les paillettes, me rapprochant d'avantage de Khorne.

D'un point de vue "modélisme", les Guerriers du Chaos m'offrent plus de libertés quant aux peintures. Les teintes principales sont les couleurs « primaires », du rouge, du bleu, du jaune/doré. Le rouge bien entendu est pour Khorne. Le bleu, c'est pour Tzeentch. Le doré fera le lien. Il ne faut pas oublier le noir, indispensable pour toute armée sous l'étendard du Chaos Universel.

Mon objectif est de créer une armée de Guerriers de Chaos « neutres ». Je considère les Dieux du Chaos indifférents à la moralité des actes, juste qu'ils veulent plus de pouvoirs pour eux. Il s'agit de retourner aux bases du conflit Ordre/Chaos. Je ne prétends pas construire un armée de Guerriers du Chaos « gentils », mais « neutres ». Prenant les aspects plus positifs de Khorne, la bravoure et le sens de l'honneur, et de Tzeentch, l'espoir et l'ambition. D'une certaine manière, moralement parlant, c'est plus l'armée de Raoh ou Griffith qu'autre chose. D'autant plus qu'il peut être marrant de voir une armée sous les couleurs de Khorne et Tzeentch.

Pour être franc, la seule chose qui me manque pour être véritablement "heureux", c'est l'occasion de jouer à des jeux de rôle sur plateaux, avec en tête Donjons & Dragons.

Parfois, je réfléchis à cette vie que j'essaye de construire après tant d'années d'errance et d'incertitude, et je me dis que je ressemble drôlement à un militant d'extrême droite! Je suis un mec qui se balade en blouson noir, qui écoute quasi exclusivement du Métal, qui essaye de lire du Nietzsche, qui pratique un sport dont la compétition est interdite en France, et qui peint des figurines de vikings en armure vénérant des forces d'entropies! Heureusement que je suis un putain de négro!

Néanmoins, je dois avouer que ce "lifestyle" que j'ai décidé à adopter n'est peut-être pas celui qui peut le plus attiré une jeune femme. C'est un mode de vie ultra viril qui veut mélanger brutalité, geekerie ultime et intensité intellectuelle (mouarf!). Je ne suis pas Rated M for Manly pour rien! Mais pour tout dire, je m'en fous un peu. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai le sentiment que les femmes me gênent plus qu'autre chose dans mon entreprise d'évolution. Beaucoup de femmes que j'ai rencontré (pas toutes, hein), veulent m’empêcher de vivre la vie que j'ai envie de vivre, pour m'imposer l'esclavage moderne. Sans oublier que la plupart d'entre elles ne comprendraient pas mon désir d'émancipation et d'ascension. Mais, pour être honnête, j'en ai assez de cacher une partie de ce que je suis, j'ai l'impression de me mentir à moi-même. Je refuse d'aller dans leur monde, désormais c'est à elles de venir dans le mien. Même si c'est un monde d'acier, de feu et de sang.

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 21:25

Assez bizarrement, il y a des choses sur ce Journal que je ne dirais à personne (mais que tout le monde peut lire...) néanmoins, j'essaye d'éviter de mettre le fin fond de ma pensée ici. Mais pour cette occasion particulière, je crois que je ferais une exception.

Cette année, je quitte (enfin) la Guadeloupe. Je voulais le faire depuis le Bac, mais je n'ai pas pu pour des raisons d'organisation. J'ai voulu partir après ma 1ère année de fac, mais j'avais plus envie. J'ai voulu partir après la Licence, mais là encore des soucis d'organisation m'ont forcé à rester en Guadeloupe. Je quitte enfin la Guadeloupe pour mon Master 2.

 

Vous l'aurez compris, je suis heureux de quitter la Guadeloupe. Si je disais ça de vive voix, on me regarderait de travers, comme si j'étais une espèce de traître. Mais pour être honnête, le seul lien que j'ai avec les autres guadeloupéens, c'est d'être né en Guadeloupe (et, encore, quand je vois des "non indigènes" être plus guadeloupéens que moi). Ce journal en est la preuve.

Peut-être que je changerais d'avis d'ici quelques temps, mais ma place n'est pas ici. Je n'ai aucun point commun avec les guadeloupéens. Nous ne pensons pas de la même manière. Nous n'avons pas les mêmes valeurs.

Je n'ai rien de particuliers contre l'île, elle même. Je la connais pas! Non pas que je n'ai pas voulu la connaître, je n'en ai pas eu la possibilité. Je me rends cependant compte que j'aurais du créer mes propres opportunités. Je regrette amèrement mon inaction.

En vérité, la Guadeloupe est comme une prison. Une magnifique prison certes, mais toujours une prison. Des interdictions de partout. Partout où je regarde, je vois les traces de mes différents et trop nombreux échecs. Je reconnais cependant que j'ai ma part dans les différents blocages auxquels je suis confronté. J'ai enchaîné conneries sur conneries. Soit par bêtise, soit par orgueil, soit par peur. Je n'en pouvais plus, je devais partir. Je crois que si je restais un an de plus, j'aurais de graves problèmes.

 

Néanmoins, j'essaye de ne pas me faire d'idées vis à vis de ce que qui m'attends. Je sais que je quitte un chez moi douillet ou j'étais pépère pour faire un saut vers l'inconnu.

D'une certaine manière, partir en France revient à quitte ou double. Je suis quelqu'un d'un naturel introverti voire renfermé, et j'ai d'énormes difficultés à aller vers les autres ainsi qu'à tisser des liens affectifs. Je sais que dans les grandes métropoles chacun vit dans son coin sans se mêler aux autres. Ce phénomène a du se renforcer avec l'avénèment des lecteurs portables et pire encore avec les smart phones. Les quelques temps qu'on passe dans les rues, on a ses écouteurs aux oreilles, le nez sur ses réseaux sociaux. On est encore plus coupé du monde extérieur. Je ne critique pas, je suis quelqu'un de très personnel. Je constate. Et je me rend compte que je risque d'être encore plus isolé que je ne le suis. Et commencer à croire que Nyarlathotep, Yog Sothoth, N'Zoth, Tzeench ou je ne sais quel struglu me chuchote des promesses de pouvoir ou que sais-je encore et que je finisse de sombrer dans la folie.

J'ai peur aussi des finances. C'est bizarre mais ces derniers temps, on parle souvent des problèmes d'argent qu'ont les étudiants, et j'ai peur d'avoir à me trouver dans cette situation. Ne pas savoir ce que je vais manger, ne pas savoir comment je vais payer mes différentes factures...

Je sais que j'aurais à travailler pour mettre du beurre sur les épinards, voir acheter les épinards tout simplement. Déjà d'une manière triviale, je me demande si je vais trouver du taff. Je suis un intello et la plupart des jobs (rien à voir avec ceux de FF, hélas) que j'ai fait soit de cette nature. Vais-je trouver un travail dans mon domaine de compétence, avec un C.V. ultra light? De plus les cours en M2 sont obligatoires, il faudra alors que le grand paresseux que je suis arrive à conjuguer les cours, le travail, les examens et le stage/mémoire... Je me demande si je peux réussir. J'ai déjà du mal à étudier alors que je ne branle rien de mes journées...

 

Quoiqu'il en soit, je vois ce départ comme plein d'opportunités. Au cas où vous vous demanderiez où je vais, je serais dans le sud ouest de Paris. Pour être honnête, je ne voulais aller nul part en particulier, mon seul intérêt étant de rencontrer des gens comme moi (lire ici, des nerds). Je vais là bas d'abord parce que Paris est la capitale, regroupant ainsi la population la plus large, et la plus diversifiée. Mais aussi en suivant les conseils d'un professeur.

J'ai également hate de partir parce que je serais que je pourrais faire ce que je veux. Je serais complètement libre. Plus forcé de subir les pression d'une société aussi conformiste et matérialiste qu'en Guadeloupe.

Même si je ne serais pas débarrassé du R'n'B, je serais affranchi du zouk et du dance hall. Je cherche déjà des bars où je pourrais écouter du métal, tranquille.

Même si le RER B semble ne jamais fonctionner, j'ose espérer que les transports en communs sont mieux organisés qu'ils ne le seront jamais en Guadeloupe.

Plus de souci pour mes livraisons, je pourrais commander les livres, les jeux et les t-shirts de jeux vidéos et de superhéros dont je rêve tant.

Et surtout, j'aurais plus de chance de rencontrer des personnes avec qui je pourrais être normal, avec qui je pourrais parler des inepties qui pullulent sur ce journal. Et j'en passe!

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