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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 11:11

En 2014, j'ai fais l'acquisition de Child of Light. A vrai dire, ce jeu m'attirait car il s'agissait d'un petit RPG indépendant qui se déroule dans un cadre féerique avec pour thème la Lune et le Soleil.

Il m'a fallu un bon moment pour le boucler, à cause d'une certaine lenteur dans la jouabilité. Sans doute du à mon PC de course.

Child of Light

Aurora est la jeune fille d'un duc en Autriche à la fin du XIXème siècle. Un jour, elle se réveille dans un lieu étrange, onirique. Très vite, elle fait la rencontre d'une luciole Igniculus, qui lui explique qu'elle doit rendre visite à la Dame de la Forêt.

Cette dernière lui explique que le monde dans lequel elle se trouve n'est pas un rêve, un royaume bien réel, Lemuria. Autrefois dirigé par la Reine de Lumière, celle-ci a disparu mystérieusement, et dans le vide, Umbra et ses filles se sont emparées du pouvoir en installant les ténèbres.

Le seul moyen pour Aurora de rentrer chez elle est de passer par le trône de l'usurpatrice Umbra, mais pour se faire, il faudra qu'elle retrouve le soleil, la lune et les étoiles qu'Umbra et ses filles ont dissimulés.

Scénario : Au départ, ce qui m'avait intéressé dans ce jeu était son côté un peu frais et léger. J'en avais un peu marre de la pesanteur des jeux vidéos auxquels j'ai joué ces derniers mois. Mais nope! En dépite de son apparente ingénuité, il est plutôt grave. La mort est un sujet presque omniprésent (de mémoire, le seul jeu vidéo où la mort est plus présente est Majora's Mask). De façon générale, j'ai l'impression que le thème central était le départ, comment gérer un départ vers une destination inconnue, laisser derrière soi ses proches, etc. Tant et si bien que je trouve que l'on est à la limite du pathos. Je m'attendais à quelque chose de plus joyeux. Que finalement, je ne trouverais qu'en jouant à Undertale.

La trame principale en elle-même est très classique (je pense à Alice au Pays des Merveilles ou au Magicien d'Oz), et reprend ainsi pas mal de codes du conte de fée (on pense alors à Cendrillon, la Belle au Bois dormant ou encore Blanche-Neige), et dans une moindre mesure du magical girl (je pense à Gigi). Néanmoins, le jeu aime bien jouer avec les dits codes, et certaines situations ne sont pas ce qu'elle semblent être.

On a un RPG assez classique dans la forme, avec un groupe de personnage plutôt convenus. Et l'essentiel du développement se concentre sur Aurora qui passe d'une petite fille apeurée qui veut rentrer chez elle, à une jeune fille déterminée à sauver le royaume de Lémuria. Je n'irais pas jusqu'à dire que les autres personnages sont plats, mais, pour quelques uns, ils sont facilement oubliables.

Enfin, les personnages parlent en rimes, et parfois ça peut être agaçant.

Ambiance : D'un point de vue graphique, on a vraiment l'impression d'être dans un livre de conte pour enfant, peint à l'aquarelle. Ce sentiment est d'autant plus renforcé par le scrolling horizontal du jeu qui fait penser à un livre d'images. Néanmoins, je suis nettement moins fan du character design de certains personnages qui ont l'air d'être dans une PLS monstrueuse. Non franchement, j'avais envie de leur coller une paire de baffe ou de les envoyer en pâture au boss, et en général j'essaye de sauver tout le monde.

De plus, je pensais pas qu'un jeu aussi simple pouvait être aussi gourmand en ressource. Je devais en général à 30 fps faisant que le jeu était leeeeent pour moi. Un peu trop.

Niveau musique, on reste dans l'ambiance onirique avec des mélodies en général douce, mais toujours bercées d'une forme de mélancolie. Cependant, au titre des musiques que j'ai apprécié, il y a celles des boss, et celle des combats dans le deuxième acte.

Jouabilité : On distingue deux phases, une phase d'exploration, assez similaire à ce que l'on peut trouver dans un jeu de plate-forme. On avance dans le monde, et l'on résout quelques énigmes. Rien de très transcendant jusqu'à ce que l'on puisse voler (c'est-à-dire très vite), non pas que ça change terriblement le jeu, mais c'est plus agréable. En revanche, j'ai trouvé les énigmes plutôt sympa. En effet, elles s'appuient sur la lumière d'Igniculus projette sur des surface afin de créer un contraste d'ombre et de lumière. Igniculus peut également intervenir en amont des combats pour éblouir les ennemis et les prendre par surprise.

En combat, on reste du classique, avec du tour par tour entre les différents personnages. Petit plus, tout le monde partage la même barre d'action qui se charge à différentes vitesses, et se divise en deux partie, la plus importante est l'attente, et la seconde est l'exécution. Chaque partie au combat progresse plus ou moins rapidement sur cette barre, et peut voir sa vitesse changer quand on arrive sur la barre d'exécution. L'action en elle-même n'est accomplie que lorsque le curseur arrive au bout de la barre. Et c'est là que ça devient intéressant. Il est possible d'influencer les actions des parties, d'abord dans la phase d'attente, mais surtout dans la phase d'exécution en interrompant la progression de la barre, celle-ci retombe dans l'attente. Si cela peut arriver au joueur, il est toujours agréable de le voir arriver aux ennemis. Il n'est pas rare ainsi que j'enchaîne un ennemi (voire même un boss), en mode victime sans lui laisser la possibilité d'attaquer. Néanmoins, au fil de la progression, on rencontrera de plus en plus d'ennemis capable de contrer une interruption, et on peut alors se demander s'il est sage d’interrompre tel ou tel ennemi plutôt que de le laisser faire son tour.

Autre point, les combats se font par deux du côté du joueur. Ca m'a fait bizarre car je suis habitué à des groupes de 4 personnages en moyenne, et pour tout dire, on a parfois le sentiment que certains personnages sont un peu inutile ou redondants. De fait, même si c'est assez facile, je n'ai pas cherché à switcher mes personnages pour faire des trucs. Ce qui rajoute au manque d'intérêt des personnages. Je ne les utilise pas, je ne les vois que très peu, et n'attache pas à eux.

Durée de vie : J'ai trouvé la durée de vie assez paradoxale. D'une part, même s'il comporte une dizaine de chapitres, le jeu est assez court. Mais dans le même temps, je l'ai trouvé très lent dans son rythme.

Finalement, Child of Light est un petit jeu sympatoche. Même si on peut lui reprocher une irrégularité dans le rythme, il n'en demeure pas moins très beau.

De plus, il joue sur un double registre de l'enfance (dans son style et sa jouabilité), et de l'adulte (les thèmes abordés) qui est assez intéressant. Mais je trouve qu'il ne va pas assez loin dans la subversion des codes du conte.

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22 mars 2016 2 22 /03 /mars /2016 20:34
Magies de l'univers Warcraft

Au fil des années, l'univers Warcraft est devenu un beau bordel. Heureusement, le 15 mars est sorti aux Etats-Unis le 1er volume des Chroniques de World of Warcraft sensé mettre de l'ordre dans tout ce fouillis. Pour tout dire, j'ai vraiment hâte qu'il sorte en Europe, car c'est un univers que j'apprécie beaucoup, et qui, assez paradoxalement (dans la mesure où c'est un patchwork de ce qui existe déjà), est une sacré source d'inspiration pour moi.

Plus particulièrement avec toutes les classes et les organisations qui s'affrontent dans le jeu, je me demandais quelles étaient les principales sources de magie. En terme de pure jouabilité (calcul des dégâts et résistance), on a comme sources de magie, l'Arcane, le Feu, le Givre, la Nature, la Lumière et l'Ombre. Mais est-ce que les dégâts d'ombre du prêtre sont de même nature que ceux qu'infligent le démoniste, ou est-ce que les arcanes du Mage sont identiques à celles du Druide? Et je pourrais continuer pendant un moment comme ça.

Et surprise, même si je ne peux pas encore explorer et exploiter le livre, il y a un schéma qui est sorti et qui reprend les différentes sources de magie ainsi que les factions qui y sont attachées.

Lumière : Les dégâts de Sacré sont ainsi liés à la Lumière. Je n'ai pas grand chose à dire à ce sujet. Depuis Warcraft III, la Lumière a toujours été quelque chose d'assez abstrait et général. Une espèce de religion/philosophie, plus proche de la Force dans Star Wars (une espèce d'énergie bienveillante qui nous englobe tous) que d'une religion de type abrahamique.

Cette vision globalisante permet ainsi différentes formes d'expression, que ce soit comme le Culte de la Lumière, ou au risque de me faire tomber dessus, les pouvoirs des Marches-Soleil, ou encore le Culte d'Elune. D'ailleurs, les Naarus sont désormais les principaux émissaires de la Lumière, il ne leur manquait que ça pour qu'ils deviennent de vrais anges sauf en nom.

Le Vide : L'Ombre devient officiellement une des forces fondamentales, directement opposée à la Lumière. Dans une relation yin/yang, on nous explique que la Lumière et le Vide sont complémentaires. Ainsi, le versant du Culte de la Lumière Sacrée est le Culte de l'Ombre oubliée pratiqué essentiellement par les Réprouvés, et les Naarus sont connus pour avoir un cycle de vie lumineux qui suit un cycle de vie "obscur."

Cependant, là où ça commence à sentir le sapin, c'est que la faction qui puise sa puissance dans le Vide, ce sont les Dieux Très Anciens. Les DTA, à savoir la faction la plus corruptrice et insidieuse d'entre toutes. Des monstres surnaturels (dommage qu'il n'y ait pas de mots qui retranscrivent bien eldritch), des amas de chairs impies qui murmurent des promesses de folie à ce qui les entendent. Une partie de moi est contente car j'apprécie beaucoup les Dieux Très Anciens, et je trouvais dommage qu'il n'ait pas de magie à eux, mais une autre partie de moi se demande comment cette dichotomie peut être possible. Les DTA ont pour but de corrompre et asservir tout ce qui les approche, alors que les Naarus sont paisibles et ne cherchent pas à imposer leur volonté à l'univers. D'autant que cela implique que les Prêtres spé Ombre canalisent voire vénèrent la même puissance d'entropie que les DTA.

L'Ordre : L'Arcane est désormais lié à l'Ordre. C'est bizarre. Depuis Warcraft III, je crois, il est admis que les arcanes sont addictives, et peuvent mener à la magie gangrenée. Dans le même temps, la magie des arcanes a permis de réaliser des merveilles telles que l'ancien empire des Elfes de la nuit, Quel'Thalas ou encore Dalaran. De plus, la plupart des mages sont présentés comme des érudits et la manipulation des arcanes comme une science empirique, au même titre que la physique, par exemple.

Les Chroniques semblent lier les arcanes aux Titans. Le Puit d'Eternité est désormais la plaie d'un nouveau titan en devenir. Et les Titans ont toujours été les Champions de l'Ordre, face au Chaos de la Légion et des Dieux Très Anciens.

Chaos : J'ai longtemps compris la magie gangrenée comme la corruption de la magie des arcanes (cela se tenait dans le nom, qui indique effectivement, une corruption ou une maladie) Maintenant, il semblerait qu'elle tienne sur ses propres jambes. Mais, j'aime pas trop le nom de Désordre, je trouve que ça fait trop "range ta chambre", donc, au moins jusqu'à la traduction française, j'utiliserais le nom de Chaos.

Donc, la magie chaotique est la magie des démons, ainsi que le feu de la Légion Ardente. C'est une magie hautement destructrice et très corruptrice. Elle s'oppose alors aux arcanes tels que pratiqué par les Titans, qui sert à la construction et nécessite une grande maîtrise.

La Vie : Je m'attendais un peu à la Vie comme source de magie. La magie de la nature des Druides, bien qu'en ayant des points communs, se distinguent assez bien du chamanisme. Les Druides font davantage appel à la puissance des animaux ou des plantes. Ils sont plus organiques, là où les chamanes sont plus "minéraux". De plus, les Druides sont parmi les personnages les plus mis en avant. Le Rêve d'Emeraude est un lieu très récurrent bien que l'on n'ait pas encore eu la chance de vraiment l'explorer. D'ailleurs, j'ai du mal à le comprendre, si c'est une copie d'Azeroth avant l'arrivée des Titans, est-ce que ce ne serait une désolation où les Dieux Très Anciens se déchirent plutôt qu'une forêt primordiale? En tout cas, en tapant ces lignes, je me rends compte que le Rêve fait pas mal penser au Feywild de certains éditions de Donjons & Dragon, un plan élémentaire de vie.

Cependant, la principale faction de la Vie peut (un peu) surprendre, il s'agit des Dieux Sauvages. Au travers des Dieux Sauvages, on comprend bien entendu les Anciens qui ont accompagné les Elfes de la Nuit, et qui sont en grande partie morts durant la Guerre des Anciens (et que l'on a ressuscité durant Cataclysm) mais aussi les Loas des Trolls. Ces derniers se distinguent un peu des Anciens, dans la mesure où ils sont plus agressifs et plus territoriaux. Mais ça doit aussi tenir au fait que l'on les rencontre souvent alors qu'ils sont subjugués (ou sacrifiés) par les Trolls en quête de pouvoir.

La Mort : Je suis content que la Mort soit sa propre source de magie. On expliquait à l'époque que c'était Kil'Jaeden qui avait crée la Roi Liche. D'une certaine manière, cela aurait pu dire qu'il aurait pu le renvoyer. Finalement, le fait que la Mort soit sa propre source de magie peut expliquer que le Roi-Liche ait été aussi puissant. Comme toujours, je suis assez satisfait de la voir distincte des puissances "obscures."

La Mort s'oppose ainsi à la Vie, et aurait son propre plan élémentaire, à savoir le monde des esprits. Un peu comme le shadowfell. Néanmoins, je me pose des questions sur la nature de la Mort. Est-ce que c'est la Mort en tant que partie du cycle de l'existence, comme semble l'indiquer la présence de la Gardienne des Ames, ou est-ce que c'est le truchement de la mort, à savoir les morts-vivants (dommage qu'il n'y ait pas de vraie traduction à undeath).

Magies de l'univers Warcraft

Enfin, au bout milieu de tout ça, le monde matériel, qui possède le pouvoir des éléments, le Feu, l'Air, la Terre et l'Eau. On retrouve ici les éléments des chamanes. Mais on doit rajouter, l'Esprit, et la Décomposition (Decay). L'Esprit serait un cinquième élément qui a déjà été pointé du doigt, il y a un petit moment maintenant (à l'époque de the Burning Crusade), et serait le Chi des Moines. La Décomposition par contre, je vois beaucoup moins, surtout qu'elle ferait doublon avec la Mort. A voir.

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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 12:02
UNDERTALE

J'ai finalement joué à Undertale. Au départ, je ne voulais pas. Je ne sais plus vraiment pourquoi. Même si je trouvais le jeu intéressant, il me donnait plus envie de jouer d'abord à un jeu de la série Mother (plus particulièrement EarthBound) et plus tard à un jeu de la série Shin Megami Tensei, que j'évitais jusqu'alors (pour moi c'est un vrai bordel cette série). Cependant, ces deux séries sont plutôt difficiles à mettre la main dessus. Donc faute de givre, on se contente de merle!

Il y a vachement longtemps, une guerre éclata entre les Humains et les Monstres. Ces derniers furent vaincus et emprisonnés derrière une barrière magique presque infranchissable. Ils s'enfoncèrent alors dans les méandres de la terre, et l'on entendit plus jamais parlé d'eux.

En 2XXX, un enfant parvint à franchir à la barrière. Son but est de parvenir à rentrer chez lui. Cependant, les Monstres ont pour mission d'attraper voire tuer tout Humain qui franchirait la barrière. En effet, il faut 7 âmes d'Humains pour parvenir à briser la barrière, et le Roi des Monstres en possède déjà 6.

Cet enfant devra alors faire preuve de détermination s'il veut survivre dans ce monde souterrain, et ses actions auront de lourdes conséquences pour les Monstres.

Scénario : On s'éloigne un peu des carcans auxquels j'ai pu assister ces derniers mois. En gros, on n'est pas vraiment dans la progression du héros. Le personnage du joueur est plus un élément perturbateur dans un microcosme donné. C'est assez intéressant. Je dois avouer que je ne souviens plus quelle est la dernière fois où j'ai vu ça.

Les monstres sont dépeints comme menant leur propre existence, avec leurs rêves et espoirs, et puis arrive le personnage, un être étrange, silencieux et extrêmement dangereux.

Les personnages sont écrits de façon assez fine, et ont tous leurs degré de nuance (y compris les rencontres aléatoires, qui ont leurs propres rêves et espoirs), de fait la plupart des personnages est vraiment attachante voire touchante. La grosse majorité des monstres n'est pas mauvaise, et est même plutôt sympa (sauf 2 cas), et s'ils vous attaquent, c'est soit par parce qu'ils pensent bien faire ou sont ignorants.

Enfin, l'écriture est très méta, et est parfaitement consciente de son propos. Cela se voit dans certaines blagues qui sont très conscientes, un quatrième mur très fragile, et parfois de façon plus sérieuse, une prise de conscience assez forte. Par exemple, en finissant le jeu, j'ai réalisé que l'un des personnages les plus cruciaux n'était autre que l'incarnation du jeu. J'ai trouvé ça vraiment balèze.

Néanmoins, ce jeu m'aura fait réfléchir sur la manière que j'ai d'aborder les matériels de divertissement. Pendant des semaines, voire des mois, je me suis goinfré de spoil allègrement. D'habitude, je distingue ce que je peux lire, par ci ou par là, de ma propre expérience. Comme j'aime dire, je commence un livre par le dernier chapitre, comme ça, je peux découvrir l'ensemble de l'aventure. C'est le voyage qui compte, pas la destination. Pas vraiment avec Undertale. La destination compte autant que le voyage. Sans nécessairement m'avoir gâché le jeu, je me demande comment j'aurais réagis si je n'avais pas eu connaissance de certains points narratifs.

Ambiance : L'une des caractéristiques d'Undertale que j'apprécie le plus est la bande sonore. Si j'apprécie l'ensemble, je retiendrais particulièrement Heartache, qui m'a montré à quel point elle était belle et Battle Against a True Hero, hyper épique. En jouant, j'ai également découvert Another Medium, la musique des Terres Chaudes, une musique onirique. D'ailleurs, Richaaed a repris en version metal les principaux boss du jeu, et c'est juste énorme. Je recommande Toutes. Les. Reprises. Sans exception.

D'un point de vue graphique, on est sur du faux-retro, l'idée étant de se rapprocher d'un Mother graphiquement (d'après ce que j'ai compris). Je pense que ça fonctionne très bien, surtout pour ce que l'on essaye de raconter, une petite histoire en apparence toute simple. Ces graphismes font merveilleusement ressortir l'univers. Je pense au design des monstres, mais en plus particuliers les décors, en particulier, la Cascade et Snowdin. J'ai lu quelque part que les décors marquaient les saisons et c'est vrai.

De façon générale, il ressort de l'ambiance du jeu, un vrai sentiment de mélancolie, et d'espoirs vains. C'est beau mais pas la joie. C'est quelque chose que j'ai vraiment ressenti dans la Cascade, un lieu magnifique, mais plein de tristesse.

Jouabilité : Les combats se font au tour par tour. Cependant, là où vous pouvez attaquer le corps de vos ennemis, les montres attaquent votre âme. Concrètement, cela signifie que lorsqu'ils vous attaquent, vous passez en mode bullet hell, où vous êtes assaillis de plein de projectiles à éviter. Si pour la plupart des ennemis ça peut être assez simple, pour les boss, c'est autrement plus corsé. Quant à vous, il faut appuyer au bon moment pour infliger le plus de dégâts. Cependant, le jeu vous invite vraiment à éviter de résoudre les conflits par la violence, et il existe plusieurs moyens de vaincre un monstre sans le trucider brutalement, que ce soit en riant à un jeu de mot, lui faisant un câlin ou en l'ignorant copieusement. C'est d'ailleurs un des aspects principaux du jeu. Allez-vous massacrer tous les monstres, chercher simplement à vous défendre ou montrer qu'il est possible de s'en sortir sans utiliser la violence? Personnellement, je connaissais déjà une grande partie de l'intrigue, et ai tâché de faire une première run comme dans un jeu normal, tuant les monstres que j'ai rencontré ou ceux que je ne parviendrais pas à épargner, finalement, je me suis retrouvé à épargner tous les monstres que j'ai rencontré. Déjà parce que le jeu vous y incite vraiment ("-Tues pas les monstres, stp." "-Ok.") et puis c'est marrant de découvrir qu'est-ce qu'il faut faire pour pouvoir épargner l'hippocampe bodybuildeur ou l'avion tsundere. Au final, le jeu et l'histoire sont profondément intégrés et dans la dernière ligne droite, ils seront quasiment fusionnés pour donner certains boss finaux les plus fun que j'aurais jamais rencontré.

A côté de cette caractéristique principale, il y a de nombreux puzzles au cours du jeu, bien qu'ils soit rarement très difficiles (pas souvenir d'en avoir peiné sur un), ils sont marrants.

Le seul point que je regrette vraiment, c'est la difficulté qu'il y a à se déplacer dans le monde, mais j'ignore si c'est voulu.

Durée de vie : Undertale prétend n'être qu'une simple aventure, et il est assez court en lui-même. Cependant, le jeu est conçu pour permettre une bonne rejouabilité pour ceux qui veulent découvrir tous ses secrets. Néanmoins, ils ont intérêt à se tenir prêts à quelques coups de poings dans le foie.

Il est difficile de parler d'Undertale sans vraiment spoiler, même si je me rend compte que j'ai plus ou moins réussi. Au final, c'est un excellent jeu, qui est fun à jouer et très touchant dans sa réalisation. Je me demande s'il y a un projet de traduction française, surtout vu comment tout le monde est à genou devant ce jeu.

"Howdy!"

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 19:18

Je sais pas pourquoi mais j'aime beaucoup les système d'alignements. Peut-être que ça vient du maniaque juridique en moi qui adore analyser des trucs et les ranger dans des catégories. Bien entendu, il ne sert à rein de classer des vraies gens dans un cadre Bien/Mal et Ordre/Chaos. Ils sont beaucoup plus complexes que ça.

Mais, il y a quelques temps, j'étais en train de me renseigner sur le système d'alignements de Shin Megami Tensei. Le principal et celui qui conditionne le scénario est celui de la Loi et du Chaos. Il en existe un autre cependant, Light/Dark. C'est-à-dire, la représentation qu'une culture peut avoir de l'entité. Une créature light sera plus proche d'un dieu, une créature dark, quant à elle, sera plus proche d'un démon.

En vrai, quand j'avais découvert ce nouvel axe, il était expliqué qu'il prenait de base YHVH, qui est à la tête du camp de la Loi, et que ce second alignement partant de lui comme départ. Avec light qui était proche de lui et dark qui était le plus éloigné. On pouvait avoir des entités loyales dark. Wut.

Mais bref, ça m'a inspiré un nouveau système de moralité alors que j'étais au travail. Enfin, je dis ça mais c'est plus un système d'alignement alternatif. Lui aussi tient sur 2 axes pour le moment, l'axe Chaud/Froid et l'axe Montagne/Vent.

Tout d'abord, l'axe Chaud/Froid. Celui-ci fait référence à l'attitude que l'on a face aux autres.

Le Chaud fait référence au foyer. C'est autour des foyer que les gens se rassemblent et communient. Quelqu'un de chaud peut avoir plus facilement envie de partager, et d'aider son prochain. C'est autour des foyers que l'on se rassemble pour chanter, danser et faire la fête. Ce sont ainsi des individus plus enclins à aller vers les autres.

Le Froid, quant à lui, fait référence à la survie. L'hiver est une période sombre on l'on préfère éviter le froid, au chaud. On a plus tendance à vouloir conserver ses ressources et l'on pensera d'abord à soi. Dans cette idée, quelqu'un qui de Froid pensera d'abord à ses intérêts. Cependant, il ne faut pas voir cet alignement comme celui des méchants frappeurs de chiots à la moustache tournoyante. C'est d'abord l'alignement des égoïstes. Le bottage de chiots est optionnel. D'ailleurs, faudra que je trouve un moyen d'avoir des méchants chauds.

Ensuite, l'axe Montagne/Vent. Celui fait référence à notre rapport à la société, aux règles qu'elle nous impose.

La Montagne désigne quelqu'un qui obéit aux règles qui lui sont imposées. Cette personne s'inscrit dans l'histoire de son organisation et la respecte. On peut s'attendre à ce qu'elle comporte comme les règles estiment qu'elle se doive se comporter. De plus, cette personne est marquée par un certain conservatisme. Elle tient en haute estime ces règles, et ne souhaite pas nécessairement les changer. On peut voir une certaine romantisation du passé.

Le Vent désigne à l'inverse quelqu'un qui n'accepte pas les règles de la société. Plus marquée par l'individualisme, cela ne l'empêche pas de se lier à d'autres mais de façon plus informelle que dans un cadre hiérarchique. Cette personne connaîtra aussi une forme de progressisme et sera plus prompt à participer aux changement de la société pour qu'elle soit plus idéale.

Je dois avouer que ces noms sont encore temporaires.

En bref, c'est un système sur lequel je dois encore travailler. Par exemple, j'avais un peu la flemme de trouver les alignements hybrides pour une publication assez rapide de l'article (j'aurais pu le garder sur le feu pendant plusieurs mois) Cependant, je pense que je vais de plus en plus l'utiliser pour mes "projets."

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5 mars 2016 6 05 /03 /mars /2016 18:33
"Muscu, muscu!"

Ça fait environ un an que j'ai commencé à déplacer de la fonte. J'en avais parlé auparavant, mais au départ, c'était pour compléter ma pratique du MMA. J'en avais marre d'être le dernier, et même si je sais que je pourrais sans doute jamais atteindre le niveau des machines avec qui je m’entraîne, je voulais être "moyen." Ne plus être ridicule en somme.

Puis au fur et à mesure, j'en suis venu à apprécier la musculation autant que ma pratique du MMA, voire même plus.

Pourquoi je n'ai pas écris un article sur mes 1 an de MMA? Parce qu'à l'époque, je devais m'occuper de mes problèmes de couple. Et j'ai aussi un rapport assez différent avec le MMA. Qui est devenu plus pratique.

Au départ, je voulais poster des photos de mes "progrès." Pas sur ce journal, bien sur, mais sur les "réseaux sociaux" (marrant quand il s'agit d'un asocial comme moi, faudrait que je trouve un nom plus personnalisé). Mais au final, je ne suis pas satisfait de moi. Donc, je préfère écrire cet article qui va rassembler un peu pèle mêle mon sentiment vis-à-vis de cet univers et de ma propre pratique.

"Muscu, muscu!"

Bien que la plupart des gars que je rencontrais me disaient "faut prendre de la masse." J'avais un peu peur de prendre trop de masse. Même maintenant, j'ai peur de faire de la gonflette à la noix. Le vrai gars qui m'a donné envie de m'y mettre à été Jean-Onche le Musclay. Ce mec me parle. Je me sens proche de lui "culturellement", et surtout, il n'essaye pas de t'enfoncer ses produits dans la gorge à chaque occasion.

Pour tout dire, à mes yeux, la plupart des gars dans le "fitgame" sont sans intérêt. Ils essayent juste de refiler des produits qu'eux même n'utilisent pas, de montrer à quel point ils ont une vie géniale (et à quel point la tienne crains), et de sortir des citations inspirantes à 0.30€. Voilà, c'était l'instant rageux.

Cependant, avec Jean-Onche, et d'autres mecs comme Enzo Foukra, ou même FromHumantoGod, j'ai découvert tout un ensemble de chose au delà du paraître. Il y a une vraie science avec tout ce qui est exercices, nutrition etc. Enfin, une grosse différence avec le MMA, c'est le potentiel de memes et de lulz qui n'a rien à voir. Rien qu'un mec comme Rich Piana (que je respecte pour son honnêteté) est une vraie mine d'or. Il est tellement sur orbite qu'il a vraiment laissé l'humanité derrière lui. Les barres de rire qu'il m'arrive de me taper, c'est phénoménal!

"Muscu, muscu!"

Pour autant, une de mes principales sources de motivation, c'est les filles. J'apprécie les femmes plutôt musclées. J'en avais déjà parlé dans un précédent article. Cette attirance a du se développer lors de mes lectures de comics. Mais quand je regarde certaines de ces femmes, je me dis, "je veux une copine comme ça!" Et des filles de cet acabit ne perdront pas leur temps à regarder un geek mal dans sa peau, "lolilol, retourne jouer à World of Warcraft" qu'elle me diraient (en anglais, ou en portugais).

De plus, tu peux pas vouloir quelque chose de quelqu'un alors que toi-même tu ne te mouilles pas outre-mesure. A mes yeux, c'est de l'hypocrisie de niveau 9000 et au delà. J'ai une attirance pour les femmes musclées, donc moi-même, je dois être crédible auprès de ces dames.

Je sais que ces canons de beauté sont en partie faussés. Que les photos ne sont pas aussi naturelles qu'elles veulent le faire croire, que les selfies ne sont pas spontanés (et Dieu que j'en ai vue des selfies!) Que certaines d'entre elles sont également chargées, qu'elles veulent refiler des trucs, et que leur personnalité peut ne pas voler très haut (entre celles qui passent leur temps à exposer leurs fesses, celles qui mettent des paroles de motivations à 0.30€, et celles qui mettent de la motivation à 0.30€ en montrant leurs fesses). Mais contrairement aux gars, j'ai envie d'elles.

De même, il faut apprendre à les apprécier pour les personnes qu'elles sont, et pas parce qu'elles seraient l'incarnation des mes fantasmes dans la vraie vie du réel. Ce sont des êtres humains avec leur histoire, leur personnalité et leurs rêves.

Au final, la plupart d'entre elles constituent plus une espèce d'objectif idéal. De même que si par je ne sais quel miracle, je me remets en couple, je n'imposerais pas à madame (on dit plus mademoiselle) de déplacer de la fonte. Sauf si c'est une baguette, là ça releverait du devoir moral.

"Muscu, muscu!"

Cependant, me dégoter une fit gf n'est pas la seule raison qui fait que j'apprécie soulever de la fonte.

En effet, je trouve qu'il y a quelque chose qui porte presque à la méditation (j'exagère volontairement). Mais dans ces moments là, je suis seul avec le fer. Personne d'autre. Je n'ai rien d'autre en tête que l'exercice, comment bien l'exécuter et le nombre de séries/répétition. Je n'ai de "comptes" à rendre qu'à moi. Je n'ai pas de compétiteurs, ni d'équipier (à ma petite échelle), juste ma volonté. Et parfois les autres avec on doit tourner, et il faut se dépêcher parce que l'autre, il charge comme un bourrin alors que t'es un fragibus.

De plus, de façon plus terre à terre, il y a tout simplement le changement de mon corps. Sans rentrer dans le pathos, j'ai mal vécu ma puberté (maladroit, rondelet, renfermé, etc.), et j'ai l'impression de vivre une seconde puberté. Une que j'aurais choisie, et que je vivrais mieux. Je commence à me sentir bien dans mon corps, et à mettre des vêtements à ma taille.

"Muscu, muscu!"

La poitrine : Quand j'étais plus jeune, j'étais plus grassouillet, et bon j'avais pas mal de tissus adipeux sur la poitrine. C'est quelque chose qui m'a complexé pendant très longtemps, et même maintenant j'ai du mal à parler. Néanmoins, je n'ai plus trop les réactions très agressives (voire violentes) qu'il m'arrivait d'avoir quand on touchait ce sujet. En dépit de ça, je n'ai jamais cherché à spécialement travailler les pectoraux. Sans doute parce que je voulais éviter de tomber dans le piège du kéké qui bosse que la poitrine et les biceps.

Au départ, je bossais la poitrine à la machine, puis j'ai eu mal à l'épaule. J'avais une mauvaise technique qui mettait à mal mes épaules. Je suis alors passé à la barre. Ça allait mieux, mais j'ai passé plusieurs semaines à réapprendre à faire du développer coucher.

"Muscu, muscu!"

Les bras : Apparemment, certains ne veulent qu'avoir de gros bras, et passent leur séance à faire des curls. Personellement, j'ai toujours un peu peur quand je fais du curl. J'ai en tête ces images de personnes qui se déchirent le biceps en voulant soulever trop lourd trop vite. Et de fait, je fais toujours dans le léger. Mais on progresse petit à petit.

Je suis plus à l'aise pour les triceps par contre. C'est quelque chose qui m'inquiète moins. Cependant, autant j'aime regarder mes triceps (et il y a pas grand chose à voir), j'ai découvert la petite veine sur le bibi due à la congestion et je veux qu'elle apparaisse tout le temps.

"Muscu, muscu!"

Le dos : Quand j'ai commencé, je ne souhaitais pas me fixer d'objectifs esthétiques particuliers parce que je ne voulais pas passer mon temps à me regarder dans un miroir, mais s'il y a bien quelque chose que je voulais, c'était un magnifique dos en V. Ça m'est venu du style de character design de Bruce Timm, un auteur de comics et un animateur de cartoon pour DC (derrière notamment Batman, Superman, la Ligue des Justiciers, Batman la Relève, son style se retrouve également dans des productions plus récentes, telles que Young Justice ou Beware the Batman (;_;)). Les personnages ont tous un beau dos en V, et je trouvais ça trop classe.

Malheureusement, le dos est sans doute la partie la plus difficile à travailler pour moi. J'ai du mal à bien faire travailler les dorsaux, et une bonne partie de ma motivation a été consumée avec ma blessure au dos. Mais dans le même temps, le V commence à apparaître, et c'est la petite Victoire.

"Muscu, muscu!"

Les épaules : Est-ce que l'on peut faire rentrer les trapèzes dans les épaules? De toute façon, de larges épaules sont nécessaires pour avoir un dos en V. D'ailleurs, j'ai une forte attirance pour les filles larges d'épaules et avec de beaux trapèzes, ça peut faire que changer ma vision du tout au tout! Moi-même ça me surprend!

Les épaules, c'est toujours assez délicats. Je me souviens qu'au départ, je peinais comme un phoque pour faire du développer épaule. A la machine.

Cependant, mes "meilleurs résultats" quant à cette région sont plus venus de ma pratique du MMA qui a très vite fait ressortir mes trapèzes. Je pense que plus à la lutte, au clinch, tout ça.

"Muscu, muscu!"

Les abdominaux : C'est assez bizarre que les abdos soit aussi célébrés. Comme si la marque de la personne en forme physiquement était la tablette de chocolat. Alors qu'en vérité, il s'agit de la manifestation de la perte de gras. Vous pouvez faire 1000 abdos tous les jours, si vous manger comme un goinfre, vous aurez du chocolat fondu. Ainsi qu'un mal de dos. Je le sais d'expérience. Alors que je le savais déjà. Non mais quel con. Mais ça s'est améliorer en bossant les lombaires. Et puis j'ai eu une autre blessure au dos. Maintenant j'ai peur des crunchs. Et j'évite d'en faire trop ou de faire du crunch lesté.

Pendant un temps avoir la "tablette" n'était pas ma priorité. A vrai dire, je ne voulais pas vraiment changer mon alimentation. Puis j'ai commencé à l'apercevoir dans le miroir de ma salle, et là, c'était le drame. Je décidais de faire plus de crunchs qu'à l'accoutumée et voilà.

Là maintenant, je tâche de faire plutôt des efforts dans mon alimentation, et chercher à mieux manger. Limiter les sucreries, et les snacks. C'est pas vraiment une sèche, plus une régulation.

"Muscu, muscu!"

Les jambes : J'ai du mal à comprendre pourquoi les hommes n'aiment pas bosser les jambes (les femmes ne faisant que ça, et accessoirement les abdominaux). C'est super marrant (tant qu'on fait attention aux genoux) et on peut mettre du poids comme des brutes. En plus, j'adore la sensation qu'on a quand on a du mal à rentrer dans son pantalon car on a de gros mollets.

Bref, j'aime bien faire les jambes, même si ce n'est pas le plus agréable (même si en réfléchissant, je me dis qu'aucun n'exercice ne l'est). D'ailleurs pendant longtemps j'avais peur de la presse, je pensais qu'elle niquait vraiment les genoux, mais il suffit de faire gaffe.

Même si je pense que le seul exercice pour travailler les jambes est le squat, je dois admettre que je n'ai pas mis une barre sur mes épaules pour descendre. J'ai commencé sur le hacksquat, et il fallait bien faire attention à ne pas avoir le dos rond. Surtout quand on est grand.

"Muscu, muscu!"

J'ai le sentiment d'avoir perdu pas mal de temps à ne rien faire. Si je veux avoir un corps crédible, il me faudra faire du leveling en salle (parce que c'est littéralement le cas) pendant minimum 5 ans. Ce constat me fait souvent bouillir parce que je me dis que j'ai perdu plusieurs années à ne rien faire et à être une masse amorphe. Et finalement, je me dis qu'il faut augmenter la fréquence d'entraînement, de faire attention à ce que je mange.

Oui. Cet article est aussi une excuse pour placer plein de fitness girls. Je n'ai pas honte.

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