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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 13:32

Au départ, l'article devait comparer Dark Souls et Dragon's Dogma. En effet, ce sont des jeux, au moins superficiellement similaires :  des actions RPG développés au Japon qui ont eu un succès plus que correct en Occident. Réputés pour leur difficulté, ils se déroulent dans un univers fantastique fortement inspiré de Berserk. Ils se distinguent principalement parce que Dark Souls est plus proche d'un hack-and-slash et assume son côté dark fantasy de façon plus affirmé alors que Dragon's Dogma flirte plus, je trouve, avec le jeu de rôle des années 80.

Cependant, quand j'ai commencé Dragon's Dogma, sur PC, j'ai eu un énorme coup de cœur pour le jeu, et j'ai été déçu. En effet, mon PC ne me permettait pas de jouer au jeu à sa pleine mesure. J'ai donc complètement arrêté de jouer à des jeux sur PC en attendant de pouvoir le remplacer. Ce qui n'est toujours pas fait. Il ne me permet pas de jouer à des jeux vidéos à pleine puissance, mais pour les autres utilisation, il fait l'affaire. Entre temps Dark Souls est sorti sur Switch. Bien que je ne l'ai pas racheté, je me suis dit, "peut-être que Dragon's Dogma va bénéficier d'une nouvelle sortie" et quelques mois plus tard, cette intuition est confirmée. Oui!! J'ai remarqué que beaucoup des jeux que j'avais déjà acheté sur Steam il y a maintenant quelques années bénéficiaient d'une nouvelle sortie sur Switch, et bien que je me tâte sur beaucoup d'entre eux, la question a été vite tranché pour Dragon's Dogma, je l’achèterai dès que je pourrais. Ce que j'ai fait.

Dans Dragon's Dogma, vous incarnez un pêcheur qui vit sa vie dans un petit village en bord de mer jusqu'à ce que le Dragon attaque! De toutes les personnes présentes, vous êtes la seule à avoir les burnes pour vous en prendre à ce messager de destruction. Reconnaissant votre courage, le Dragon vous arrache le cœur en prononçant des paroles incompréhensibles. Miraculeusement, vous vous réveillez. Mais sans cœur. Vous apprendrez par la suite alors que vous êtes l'Insurgé, l'individu destiné à affronter le Dragon.

Alors que vous prenez les armes, vous constatez que le monde devient de plus en plus trouble. L'arrivée du Dragon excite les passions! Mais vous ne serez pas tout seul, puisque rapidement vous ferez la rencontre des Pions, un peuple d'humains artificiels qui servent l'Insurgé.

Scénario : Je pensais que le scénario serait très direct, à l'attaque du dragon, et éventuellement avec des obstacles mis en travers de nos routes. Mais finalement, c'est plus nuancé. On comprend que le monde est vaste, et un peu malgré nous, nous sommes imbriqués dans les intrigues politiques du royaume. Comme dans la vraie vie, les puissances traînent des pieds face à une crise mondiale (pourtant explicite), et certains essaient de tirer leur épingle de la fin du monde.

Néanmoins, le jeu a tendance à nous présenter des personnages qui apparemment sont très importants, mais en dehors de quelques quêtes on peut vite ne plus avoir affaire à eux. Et je me dis que je les oublierai vite puisque je n'ai pas de réelle raison de m'attacher à ce qui peut leur arriver. Je ne connais pas leur histoire, ni leurs objectifs et leurs capacités. Une chose à retenu mon attention cependant : les accents. Et alors que je jouais, j'entendais un accent très désagréable. Déjà les personnages emploient un anglais assez daté (pour ne pas dire archaïque), puis cet accès particulier qui le tout incompréhensible. Et tout s'est éclairé, c'est un accès français! Un accent à la Daimon dans ReBoot! (on a les références qu'on a). Et je passais plus de temps à me moquer des accents des personnages qu'à prendre vraiment au sérieux ce qu'ils pouvaient me dire. Alors que le scénario se prêtre assez peu à l'humour. Même s'il a ses moments de légéreté.

Et c'est d'autant plus agaçant qu'il y a un système d'affinité où les personnages peuvent même tomber amoureux de l'Insurgé. Et ce en parlant quelques fois et en offrant des cadeaux qu'on peut maxer ces relations. Il y a une même situation où le personnage tombe sur notre charme dès la première fois! Si seulement ça pouvait être aussi simple dans la réalité, je me suis alors dit!

Au final, c'est assez frustrant : on voit que le jeu a un univers riche, mais celui-ci est à peine exploré. Le jeu est très ambitieux. Je ne sais pas si c'est la même démarche que Dark Souls, où c'est au joueur de recomposer la diégèse et la narration du jeu lui-même.

Jouabilité : Le jeu se déroule dans un monde assez ouvert. La seule contrainte étant que l'on ne puisse pas nager. On peut aller à gauche et à droite, et une fois qu'on attend la capitale de Gransys, Gran Soren, on peut aller a peu près on veut. D'autant plus que le système de quêtes peut faire aller très loin, très vite. Et on se prend quelques murs en la présence de "monstres boss", comme des chimères ou même des ennemis basiques.

En effet, le jeu est dur. J'ai pensé qu'après mes expériences sur Shin Megami Tensei, j'étais devenu un vrai bonhomme. Quelques Total Party Wipe devant des brigands m'ont fait comprendre que non. Mais on a souvent la possibilité de se renforcer soit pexant ou en ayant du meilleur stuff. Et j'étais aux anges quand j'ai vécu ma première chimère (c'était quand même juste) jusqu'à ce que je me fasse botter le cul par un drake moins d'une heure après. J'ai compris qu'il y a une progression dans le jeu, même si elle est très abrupte.

Sur le sujet de la difficulté, la nuit est un environnement radicalement différent. Un chemin dans la forêt devient un vrai coupe gorge. Il n'y a pas de lune et quasiment pas de lumière. On doit avancer à la lanterne et les ennemis sont différents. Il y a toujours des "boss mondiaux", mais on rencontre plus de morts-vivants. Je crois que les monstres sont plus agressifs aussi, mais je ne sais pas si la lanterne attire leur attention.

Mais, vous n'êtes pas tout seul dans votre périple. Puisque vous avez les pions avec vous. Il y a tout d'abord votre Pion principal que vous créez au début du jeu. Il évoluera avec vous tout au long de votre aventure. Vous pouvez également recruter deux autres Pion afin de partir en quête.

On ne contrôle les Pions, le notre comme les autres. Ils obéissent à un système d'intelligence artificielle, l'inclinaison. Ce système se met en place dès la création du Pion, où lui donne quelques traits rapides de personnalité. Le Pion va évoluer au fil du jeu. Que ce soit lors de l'exploration ou des combats. Il y a aussi moyen d'influer plus directement sur l'attitude du Pion grâce aux chaises de savoir qui se trouvent dans certaines auberges. On peut dire au Pion ce que l'on souhaite qu'il fasse. C'est un système qui demande un certain doigté, et à titre personnel je ne sais pas trop comment je m'en suis tiré. Je trouve mon Pion parfois débile, attrapant des ennemis alors que j'aurais préféré qu'il les achève lui-même ou criant qu'il y a un type d'ennemis tout près, mais incapable de les attaquer avant que ceux ne nous engage. Les autres Pions sont normalement issues d'autres joueurs. Puisque Dragon's Dogma prend place dans un multivers ou chaque joueur évolue dans son univers et les Pions sont le seul lien entre les différents univers. Mais, je pense que je joue hors ligne. De fait, je n'ai que des Pions préexistant dans le jeu. Je me suis posé la question en vérifiant les compétences des Pions : un humain aurait été plus pratique que des compétences éparpillées dans tous les sens. Et eux aussi ne sont pas très malins.

Un des aspects qui m'a fait m'intéresser au jeu, c'est qu'il comprend des classes jouables ou Vocations, et chaque personnage, Insurgé ou Pion doit avoir une classe. Au départ, trois Vocations assez généralistes nous sont proposées : le Guerrier, un combattant qui est plus orienté défense, le Rôdeur, qui n'est pas un voleur classique, mais est le personnage le plus polyvalent et le Mage, qui est, notamment, le seul vrai soigneur du jeu. Assez vite dans le jeu, on débloque de nouvelles classes avancées. D'abord des versions spécialisées des premières : le Champion, un combattant aux frappes ultra-puissantes, le Chasseur, le véritable sniper et le Sorcier qui utilise des sorts de dégâts impressionnants. L'Insurgé quant à lui a accès à des vocations hybride, le Paladin, qui combine magie et force, l'Assassin, celui qui a le plus d'options pour l'attaque et l'Archer mystique, celui qui est prêt pour tout.

J'ai eu beaucoup de mal à composer mon équipe. En effet, je pense qu'un héros doit être un combattant, il est donc naturel que je me tourne vers le Guerrier et ses évolutions. Ensuite, pour reprendre l'image du chevalier contre le dragon, j'ai voulu créer un Paladin. Je voulais imiter Cecil Harvey de Final Fantasy IV, et jouer une classe qui protège ses alliés. Comme doit le faire un héros! Mais j'avais beaucoup de mal à jouer cette classe. Ce n'est que récemment que j'ai compris que je ne savais jouer Paladin : c'est une classe de contres et de placements alors que ma stratégie de base est "porte une armure lourde pour encaisser et à l'assaut." Je me suis alors résigné à jouer Assassin, laissant de côté la défense pour me concentrer sur l'attaque. Je pourrai être mobile dans les combats.

Par la suite, j'ai compris que le jeu encourage à changer régulièrement de Vocation. On peut partager certaines compétences d'armes (mon Rôdeur, mon Chasseur, mon Assassin pouvaient tous utiliser des dagues) et les améliorations qui peuvent être transmises à toutes les Vocations. Mais aussi permettre d'avoir des statistiques équilibrées, même si j'ai vu que le minmaxing est possible. Et tout simplement voir le jeu sous d'autres aspect. Je n'avais pas la même perception du jeu en tant qu’Assassin qu'en tant de Rôdeur.

Un des points qui m'a fait tomber sous le charme de Dragon's Dogma est qu'il encourage au pragmatisme. Dès qu'un ennemi a une faiblesse, vous devez chercher à l'exploiter : les dragons ont leur cœur exposé, une volée de flèches dedans. Les chimères ont trois têtes, on les tues au fur et à mesure (d'ailleurs ça me faisait de la peine). Un ennemi vole, on lui brûle les ailes pour qu'il reste à terre. Les sauriens sont très résistants mais paniquent dès qu'on leur coupe la queue, plus de queue! C'est comme ça aussi dans l'organisation des combats : très vite, nous sommes confronté à un ogre, un ennemi redoutable, surtout au début du jeu. Mais nous sommes aussi près d'une falaise, et l'ogre est enragé et fonce souvent dans le tas. Il suffit à alors que le faire chuter pour le vaincre. Je trouvais également génial de pouvoir monter sur les ennemis géants pour pouvoir leur enfoncer une épée dans leur point faible, comme l’œil d'un cyclope. A beaucoup d'égard, j'ai eu l'impression de me retrouver dans Breath of Wild, et j'ai parfois eu envie de me jeter avec mon arc en me concentrer pour envoyer une volée de flèches en plein dans la tête de mes ennemis. Mais tirer dans la tête ne faisait rien. Ca ne m'a pas empêché d'avoir des problèmes de mémoire musculaire cependant.

Ambiance : L'une des choses qui m'a séduit c'est l'aspect "classique" du jeu. Il dégage une ambiance très années 80, avec un côté exploration des étendues sauvages et des donjons abandonnées. Quand j'ai vu les premières images, j'ai pensé à une campagne de jeu de rôle sur plateau. Les monstres que l'on rencontre sont des classiques là aussi, les dragons bien sur, mais également des gobelins, des cyclopes, etc. Mais à chaque fois, ils sont réappropriés et c'est quelque chose que je trouve vraiment cool.

Le monde est très beau. On parcourt de grandes forêts et on traverse des montagnes tout en étant mine de rien proche de la mer. Mais assez paradoxalement alors que j'allais vers une quête, j'ai trouvé le monde assez vide. Il n'y a que deux "vraies" villes, les seules autres lieux de vie que l'on rencontre sont des campements, des forts et éventuellement une abbaye. Et dans la plupart de ces lieux, les PNJ sont là et attendent que l'on interagissent avec eux. Bien sur il y a des animaux, mais de mon expérience, je n'ai pas tellement vu d’interactions entre les différents PNJ. Même si les ennemis attaquent des gardes, mais ça va pas trop loin.

Par ailleurs, autre chose que j'ai beaucoup apprécié est la mise à disposition d'un éditeur de personnage très fourni et de ce que j'ai compris en dehors des personnages "importants", tous les personnages du jeu sont issus de cet éditeur. Je dois reconnaitre que je ne suis pas très original quand je crée mes avatars dans des jeux vidéos. Très souvent, ce ne sont que des versions de moi "idéalisée". Sans doute pour assouvir mon besoin d'évasion. Etre un vrai héros quelque part. Parfois, quand le héros est plus "stoïque" et que l'éditeur de personnage le permet. J'aime bien recréer le Boss que j'avais crée pour mes parties de Saints Row III et IV. Quand j'ai vu les possibilités de l'éditeur, je me suis "Pourquoi ne pas créer ce que j'estime être la femme parfaite?" Même si dans la réalité, elle s'en distingue très souvent. Par exemple, je n'aime pas trop les yeux clairs. Mais je trouve que ça fait mieux ressortir les personnages.

Quand je me baladais dans les décors, l'inspiration avec Berserk me sautait au visage. Gran Soren est très similaire à la manière dont Miura dessine ses villes, grandes, étouffantes, et avec des tuiles. Et la cabane de la Selene dans le bois de la Sorcière est une référence plus qu'évidente à la cabane de Flora où les héros rencontrent Shierke. Apparemment, il y a une version où les armures de Guts et Griffith sont obtenables. Mais ce n'est pas possible dans toutes les versions pour des raisons de droits. Sur le terrain de Berserk, j'ai été très surpris de voir Guts en design pour homme (même qu'il a servi de base à mon Pion principal) et Mercedes (ma waifu) est très clairement inspirée de Casca, à tel point que ça fait. Apparemment, Casca sert aussi de base pour un personnage. Peut-être mon Insurgée est basé sur ce modèle. En plus grande. Et plus musclée. Mais avec des cheveux un peu plus longs.

La musique sert également à l'ambiance, comme par exemple le thème qui accompagne notre aventure dans les alentours de Gran Soren, et qui donne la pleine mesure du monde dans lequel on s'aventure. J'aime beaucoup le thème des combats contre les monstres géants car c'est très épique. Par moment, le thème des combat normaux partait en roue libre parce que j'avais vaincu tous les ennemis, mais il continuait à jouer. Un peu plus à côté, il y a le thème de la création des personnages que j'ai entendu je pense trop de fois. Et aussi le combat contre le boss final du Récif de l'Amertume. Dans ma session je ne suis pas arrivé jusqu'à lui. Je n'ai même pas mis un pied sur l'île, mais je suis tombé dessus et j'ai trouvé ça cool. 

Durée de vie : J'ai recommencé ma session tellement souvent que je ne peux pas compter le nombre de fois. Très souvent, c'était parce qu'un détail me gênait ou parce que je voulais prendre un autre départ, mais j'ai du me taper tout le prologue! Et il m'a fallu un moment pour atteindre le niveau 20. Et quitter vraiment Gran Soren.

En prenant le temps de réfléchir sur ce que j'ai fait, j'ai réalisé que j'ai quand même passé beaucoup de temps à me bastonner. La plupart des quêtes du jeu sont assez similaires à celles où on doit éliminer 20 loups pour la milice locale. Et une autre grande partie des quêtes sont des missions d'escortes. C'est notamment au cours de celles-ci que l'on peut apprendre un peu plus sur les personnages. Mais le jeu est par moment tellement difficile que je ne savais pas pour où passer et que, en attendant de me renforcer, j'évitais d'aller dans certains endroits. Par la suite, j'ai cherché à réaliser certaines de ces missions, et elles avaient disparu! En effet, certaines quêtes deviennent indisponibles parce que le jeu a son rythme à lui, et ne tient nécessairement au courant. Je comprend vaguement qu'il est lié à la progression du scénario, mais en dehors de ça, fais avec. Ce qui peut être frustrant parce que le jeu indique que l'on peut réaliser d'autres missions si l'on est coincé dans une.

Egalement sur un sujet analogue, j'ai eu des difficultés avec la sauvegarde. Le jeu dispose d'une sauvegarde automatique, ce qui nécessite de faire attention, ou à l'inverse permet de se lâcher parce que l'on sait que l'on revient à un point pas si éloigné. Mais il semble qu'il y a différents points de sauvegarde, entre les sauvegardes manuelles, les sauvegardes réalisées en dormant dans une auberge et les autres sauvegardes ordinaires. Et parfois, je me suis retrouvé empêtré dans une quête à cause d'un souci de sauvegarde. Je voulais recommencer, mais ma sauvegarde était déjà en dur.

Sinon, au moment où j'écris l'article, je n'ai pas encore vaincu le Dragon (le Drake m'a encore botté les fesses, mais j'ai mieux tenu). Mais de ce que je sais l'aventure continue une fois celui-ci terrassé, mais je n'ai pas compris tout ce qu'il se passait. Il y a également la possibilité de faire des New Game + où je ne sais pas non plus ce qu'il se passe. Et j'ai l'extension Bitterblack Island qui comprend le super donjon du le Récif de l'Amertume, où se trouve des ennemis terrifiants et des super boss. Apparemment, on n'y est bien qu'à partir du New Game +.

Quand il est sorti, Dragon's Dogma voulait apparemment marcher sur les plates-bandes de jeux comme Dark Souls, et Skyrim. Il a fait un semi-bide, mais sa renommée s'est construite au fil des années. Tant et si bien qu'il est question d'y avoir un animé produit par Netflix.

A l'époque j'avais entendu rapidement parlé de ce jeu où un Dragon nous arrachait le coeur (ce qui m'avait fait penser à un film, Coeur de Dragon), mais ce n'est que des années plus tard que j'ai vraiment eu l'occasion de le découvrir, et je ne suis pas déçu. 

Dragon's Dogma, bien que très orienté action, reste un jeu très prenant qui a été une grande source d'inspiration pour moi.

Tant et si bien, que voulant imiter Sizefac, Dragon's Dogma est devenu à mes yeux le premier récipiendaire du "C'est l'amour, c'est la vie" Seal of Quality. Quand on voit ce que Nintendo a fait du sien...

"- Rain your steel upon it, Arisen!" "- Mais achève le toi-même, espèce d'idiot!"

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